On pourrait dire de Christophe Piquet, 60 ans, qu’il est un « repenti » de l'agriculture. Car ce mayennais, installé à Azé, a fait machine arrière, il y a dix ans. Publiquement, il va même jusqu'à demander « pardon » pour ce qu’il a fait jusque-là dans l’exercice de sa profession. A 50 ans, il a choisi d’abandonner le système d’agriculture productiviste et intensif, communément utilisé en Mayenne, pour retourner vers une agriculture "plus respectueuse de la nature". Christophe Piquet l'a fait en se tournant d'abord vers l'agriculture biologique et maintenant vers l’agroforesterie.
Grand entretien avec Christophe Piquet
leglob-journal : Christophe Piquet, vous expliquez que vous avez fait en quelque sorte amende honorable dans le domaine de l’agricul...
Le contenu de cet article est réservé aux abonnés
Déjà un compte? Je me connecte
Pour lire la totalité de cet article, vous devez vous abonner. Choisissez l'abonnement qui vous convient pour avoir accès à tous les articles du Glob-journal
faites le choix de l'investigation en Mayenne
Paiement sécurisé par carte ou chèque bancaire