Benoit Hamon a du pain sur la planche. Car pour lui le plus dur reste à faire. Le vainqueur de la Primaire (58,71 % face à Manuel Valls 41,29 %), - mais est-ce vraiment une surprise ? - vient de recueillir une légitimité par les urnes, même si 2 millions d’électeurs ne font pas une élection grandeur nature. Hamon va devoir à présent composer à gauche.
Par Thomas H.
D’abord avec le perdant. Manuel Valls. L’homme de la gouvernance, le régalien amoureux de l’ordre, quand Benoit Hamon préfère lui entendre le cœur de la France battre. Valls qui s’est illustré au pouvoir et qui s’est usé globalement pour s’en être servi, parfois à tort, sous le quinquennat de François Hollande, a été éliminé.
La prime au sortant devient donc par les temps qui court contre-productive. C’est la leçon immédiate qu’on peut tirer de ce second tour. Mais aussi des primaires en général, dont certains commencent...
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