Être déclaré «coupable» et se trouver au final dispensé de peine. On avait déjà connu cela avec l’épisode dans l’affaire Tapie de la Présidente du FMI qui n’avait pas été inquiétée, sauf à être traduite devant la Cour de Justice de la République. Cette fois, c’est à Laval que le phénomène se reproduit avec le jugement qui vient d’être rendu concernant les actions de la FDSEA en Mars 2011 et qui ont été jugé, il faut le rappeler, six ans après les faits.
Par Thomas H.
La relaxe pour les uns et la dispense de peine pour d'autres. Le jugement du Tribunal correctionnel de Laval présidé par le vice-président du TGI, Bruno Thouzellier, en situation à l’audience de juge unique, c'est à dire seul pour se faire son jugement, a été rendu dans le creux du long week-end de l’Ascension.
Et c'est la relaxe, à la fois pour Florence Désillière, présidente de la FDSEA 53 à l’époque des faits et la...
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