Par leglob-journal.
Du chaos sûrement ne peut naître que des situations extrêmes. On l'a vu au fil de ces dernières années depuis que la guerre en Irak a été déclenchée. Nous avons pu le mesurer depuis, tous les jours. Le chaos s'est exporté, il s'est déplacé, de l'Orient à l'Occident.
Georges W. Buch et Tony Blair sont partis, mais les dégâts et les «dommages collatéraux» semblent irréparables. Nous pourrions aussi en vouloir - même si cela ne sert à rien - à ceux qui n'ont pas fait grand chose fait pour prévenir et qui savent maintenant que guérir est très compliqué.
Au désordre, à la désorganisation s'est ajouté des actes de guerre civile en Irak puis en Syrie. Et à sa confusion liberticide et de mort, s'est rajouté la haine interethnique, saupoudrée de façon insistante et tenace de religion, prétexte à embrigadement idéologique. Des ingrédients mortifères qui ont fini par s'expo...
La suite est réservée aux abonnés
Déjà abonné-e ? Se connecter
Abonnez-vous dès maintenant ⤵
- Lisez ce qu’on ne lit pas ailleurs en Mayenne
- Soutenez un journal indépendant adossé à une association reconnue d’intérêt général
- Entrez dans l’investigation, l’analyse, l’opinion et écoutez des podcasts
Paiement sécurisé par carte ou chèque bancaire
Contactez-nous : ici