Des sommes et des subventions. 130 000 euros en moyenne, c'est ce dont dispose un député au nom de la réserve parlementaire - et quand on est président de groupe ou de commission, c'est le double - ce qui n'est pas rien. Certains diront que la réserve parlementaire, c'est du «clientélisme», la possibilité de «s'acheter» des voix en prévisions de futures élections. Ce sont sans doute de mauvaises langues ! La réserve parlementaire jusque-là était soumise à une opacité totale. A présent, et depuis janvier 2014, il est possible de savoir par le menu qui donne quoi et à qui, et c'est donc un progrès incontestable. Encore faut-il avoir accès aux données et avoir du temps pour les analyser. Pour en faire une lecture éducative, il suffit aussi d'avoir envie de se pencher sur la question. Analyser...
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