Entraver la libre désignation de délégués du personnel, et plus généralement faire fi du droit syndical, c’est un délit avec lequel il ne faut pas jouer. Rémy Adrion le PDG de Noz qui avait été condamné par le tribunal correctionnel de Laval le 24 septembre 2015 à deux fois quatre mois de prison avec sursis, pour entrave à la liberté syndicale et prêt illégal de mains d’œuvre à but lucratif, assorti de 5 000 euros d’amende vient de voir sa condamnation confirmée en appel. La Justice à Angers, dans son arrêt, confirme totalement la décision du tribunal de Laval.
Par Thomas H.
« C’est une très bonne nouvelle pour les salariés, les droits dans l’entreprise, le syndicalisme et la CFDT ; l’entreprise était coutumière du fait. », commente Mélanie Allain, la secrétaire départementale de ...
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