Quand Didier Pillon et ses colistiers en campagne pour les élections municipales annonçaient « avec François Zocchetto, nous avons réveillé Laval, maintenant nous allons la transformer...», je me suis dit que, soit ils considéraient les Lavallois comme des endormis profonds, soit l’équipe sortante était composée de piètres réanimateurs.
Par Nicolas Chomel
Aujourd’hui, avec l’épidémie de Coronavirus et, traversant (pour un motif légal) les rues de la ville déserte, comme endormie donc, je m’interroge : est-ce que Laval et ses habitants pourraient sortir transformés de leur ralentissement forcé et de leur confinement ?
Les règles imposées par le gouvernement depuis ce lundi soir 16 mars restreignent les déplacements au stricte nécessaire : se rendre sur son lieu de travail seulement si c’est indispensable, faire des achats de première nécessité, se...
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