Arithmétique - Le renoncement de François Hollande est le troisième évincement, après Sarkozy et Juppé, de la politique française en l’espace de quelques jours. Un drôle de nettoyage qui en dit assez long sur le besoin de renouveau dans la représentation politique. Cela ouvre des perspectives pour les uns et des espaces de crainte pour les autres.
Par Thomas H.
C’est le troisième départ, après celui de Nicolas Sarkozy, et celui d’Alain Juppé. Lucidement, le Président a renoncé. Il a pris conscience que son aura sous les ors de la République élyséenne s’était considérablement amoindrie, comme une peau de chagrin, au grand dam des aficionados à gauche qui se sont sentis meurtris. Comme un soulagement pour les #TSH - Tout Sauf Hollande - qui disaient ne plus le supporter. Une « sage décision » pour ceux qui lui reconnaissent tout de même « courage et dignité ».
Mais ce n’est pas simp...
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