Les Français, par le passé, ont pu s’exprimer au moment de déposer leur bulletin dans l'urne. Ils l'ont fait soit sous la contrainte psychologique pris par l’effet sidérant de surprise, soit par convictions, ou alors parce qu’il le fallait bien. Le vote, ce grand sujet d’actualité en raison de la présidentielle 2017, est pluriel. Mais à bien analyser, il se joue, cette fois, une étrange petite musique.
Par Thomas H.
Le vote quand il n’est pas perverti par l’abstention, quand il est tout sauf motivé par une trop grande envie de se dégager de la politique et de ceux qui l’incarnent ; le vote quand il n'est pas «sanction» ; le vote quand il devient un acte d’engagement politique fort, ce droit de vote a pu revêtir, sous son apparence simplicité, divers aspects. En France, il y a eu des votes aussi différents les uns des autres en raison des circonstances politiques particulières .
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