« Sur le registre du mouvement des Gilets jaunes (GJ), les très récentes contributions de Michel Rose puis de Michel Ferron dans cet honorable Journal sonnent à mes oreilles comme deux clairons de la même fanfare » nous écrit Gérard Prioul, syndicaliste et libre Penseur en Mayenne. Dans cette Tribune, au delà de ce qu’il appelle « la langue de bois médiatique », son auteur entend donc contrebalancer le discours communément entendu sur le mouvement social qui a entamé en France ses trois mois d’existence. S’inspirant de Robespierre, il réclame, en quelque sorte, « Justice pour les Gilets Jaunes ».
Par Gérard Prioul*
Réparons vite un oubli, que dis-je, une faute, constituée par le silence sur les violences qui ont provoqué pas moins de 10 morts, principalement parmi les GJ. Et je n’ai rien lu dénonçant les provocations, agressions et brutalités policières qui s’amplifient. Pa...
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