Refuser de se retrouver emmuré dans le silence du harcèlement est une décision très difficile à prendre. Il y a des freins psychologiques très forts qui vous poussent contre votre gré à ne pas sortir de «votre coquille» de harcelé. A y rester en vous tapant la tête contre les murs courbes de cette espace dans lequel vous êtes prisonnier. Des salariés l’ont fait pourtant, mais pour combien qui n’osent pas en Mayenne ou ailleurs !
Par Thomas H.
Six agents de la Maison de retraite de Meslay-du-Maine qui n’ont pas supporté, on les comprend, ont choisi de rompre le silence. Et de parler, et de demander réparations, devant la justice.
Histoire de culture?
« Slip ou string ? », voilà entres autres le genre de question auxquelles étaient soumises ces salariées de la part de leur hiérarchie directe qui se croyait tout permis.
Rompre le silence, c’est la décision qui aura permis la prise de p...
La suite est réservée aux abonnés
Déjà abonné-e ? Se connecter
Abonnez-vous dès maintenant ⤵
- Lisez ce qu’on ne lit pas ailleurs en Mayenne
- Soutenez un journal indépendant adossé à une association reconnue d’intérêt général
- Entrez dans l’investigation, l’analyse, l’opinion et écoutez des podcasts
Paiement sécurisé par carte ou chèque bancaire
Contactez-nous : ici