« La confiance des citoyens dans ceux qui gouvernent, jugent ou administrent est au fondement même de la République et de la démocratie. Cette confiance ne peut prospérer que si l'intégrité et l'impartialité des responsables publics ne peuvent être mises en doute. » On ne peut que souscrire à cette phrase de janvier 2010 qui prend une acuité encore plus grande aujourd'hui. Elle est extraite d’« un Projet de loi, relatif à la déontologie et à la prévention des conflits d'intérêts dans la vie publique » présenté par le ministre de la fonction publique du précédent gouvernement. Au-delà, il faut bien l’admettre, c’est le mouvement dit de « moralisation » accentué par « l’affaire Cahuzac » qui peine à s’ancrer dans le jeu politique français.
Par Thomas H.
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