Une élection européenne "escamotée, passée à la trappe" et détournée à des "fins politiciennes" avec une "dramatisation inopinée" par "le coup de colère d'un enfant boudeur" conduisant à "une dissolution sidérante", résultat un "pays paralysé"... Voilà comment Michel Ferron résume la situation politique dans une tribune où il tente de faire lien entre politique nationale et européenne. Avec en filigrane la réplique culte du film "Le Guépard" de Visconti : "Tout changer pour que rien ne change..."
Par Michel Ferron*
Jusqu’ici, la Vè Répub...
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