Didier Pillon, crédité d'un première place au premier tour avec près de 41% des voix, arrive au second avec relativement peu de marges de manœuvre confortables. Le candidat de la droite rassemblée à Laval ne peut compter que sur les voix de ceux qui ne sont pas venus s'exprimer le 15 mars et qui pourraient vouloir venir voter au second. Dans ce duel à distance, entre "les anciens et les modernes"...
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