Rien ne filtre ou presque de chez Coriolis, le premier employeur privé situé dans le quartier Murat à Laval. Un peu plus d'un an après la dernière grève déclenchée au Centre d'appels, on sait, - communication institutionnelle oblige par voie de presse - , qu’il cherche à recruter. En revanche pour avoir des informations, et pour comprendre, il faut se trouver en son cœur. Ses salariés ont souvent fait parler d’eux lors de mouvements sociaux. Mais «depuis un an, l’usine à paroles semble muette, nous dit Sarah Pommard qui ajoute que l’atmosphère y est pourtant pesante.» Immersion vécue dans cette entreprise qui selon notre contributrice organise la «pression permanente».
Par Sarah Pommard
Le centre d'appels Coriolis installé en face de la cité administrative à l'entrée du quartier...
Le contenu de cet article est réservé aux abonnés
Déjà un compte? Je me connecte
Pour lire la totalité de cet article, vous devez vous abonner. Choisissez l'abonnement qui vous convient pour avoir accès à tous les articles du Glob-journal
faites le choix de l'investigation en Mayenne
Paiement sécurisé par carte ou chèque bancaire