Deux femmes, et c'est tant mieux, ont finalement été hissées, après de longues négociations, sur le podium final dans cette course longtemps incertaine aux "Top jobs" pour la gouvernance de l'Europe, nouvelle mouture, issue des urnes. Celle qui fut la toute première directrice générale du FMI, Christine Lagarde va devenir à 63 ans, la première présidente de la BCE. Quant à Ursula von der Leyen, la ministre allemande de la Défense, elle prend la place de Jean-Claude Juncker à la tête de la Commission européenne. Exit, le bouillonnant social-démocrate néerlandais Frans Timmermans qui fut un temps favori à ce poste pour lui succéder.
Des nominations au forceps
Par Michel Ferron*
Les difficultés rencontrées dans l’émergence des candidatures aux postes-clés des diverses institutions communautaires (avec, en arrière-plan, la confirmation du couple franco-allemand comme « faiseur...
La suite est réservée aux abonnés
Déjà abonné-e ? Se connecter
Abonnez-vous dès maintenant ⤵
- Lisez ce qu’on ne lit pas ailleurs en Mayenne
- Soutenez un journal indépendant adossé à une association reconnue d’intérêt général
- Entrez dans l’investigation, l’analyse, l’opinion et écoutez des podcasts
Paiement sécurisé par carte ou chèque bancaire
Contactez-nous : ici