Après les mots, les chiffres. Henri Marteau s’intéresse à la « manière d’utiliser les chiffres sortis de leur contexte pour jouer de l’intimidation intellectuelle et interdire tout débat, au lieu d’inviter les citoyens à réfléchir à la question. C’est particulièrement vrai, poursuit-il, dans le cas du débat autour de la dépense publique comme de la dette publique ». Notre contributeur aussi n’a de cesse, à juste titre ou pas, de mettre en avant les conséquences néfastes des « politiques d’austérité prises sans concertation » avec ceux qui doivent les subir.
Par Henri Marteau
Depuis trois décennies, sur l’injonction de Bruxelles, les gouvernements de droite et de gauche ont pris prétexte du creusement de la dette publique pour justifier des politiques d’austérité.
La dépense pu...
Le contenu de cet article est réservé aux abonnés
Déjà un compte? Je me connecte
Pour lire la totalité de cet article, vous devez vous abonner. Choisissez l'abonnement qui vous convient pour avoir accès à tous les articles du Glob-journal
faites le choix de l'investigation en Mayenne
Paiement sécurisé par carte ou chèque bancaire