Si les députés Français ont créé un statut de « lanceur d'alerte » au sein du Renseignement pour un agent des Services Secrets qui souhaiterait dénoncer l'utilisation de techniques illégales, il n'en demeure pas moins selon les défenseurs des libertés publiques, que les garanties démocratiques ne semblent pas présentes à propos du projet de loi sur le Renseignement examiné depuis le début de la semaine à l'Assemblée nationale et qui devrait être voté le 5 mai.
Le gouvernement apporterait de la confusion sur l’objet de ce texte présenté comme une loi anti-terroriste. Derrière elle, ne se cachent-ils pas les pouvoirs de surveillance des citoyens par l’État ? interrogent les associations, mais aussi la CNIL, la Commission Nationale de l'Informatique et des Libertés qui émet des «réserves»....
Le contenu de cet article est réservé aux abonnés
Déjà un compte? Je me connecte
Pour lire la totalité de cet article, vous devez vous abonner. Choisissez l'abonnement qui vous convient pour avoir accès à tous les articles du Glob-journal
faites le choix de l'investigation en Mayenne
Paiement sécurisé par carte ou chèque bancaire