La campagne des municipales à Laval fait apparaître une gauche divisée. C'est un fait. La rupture semble consommée. Avec ce « deux poids, deux listes », des électeurs assez nombreux à gauche s’interrogent et regrettent qu’il n’y ait pas eu d’accord possible. Certains observateurs qui s’en délectent, au contraire, pensent que la « machine à ne pas gagner est en route ». Cette séparation, - certains veulent croire que cette rupture est « momentanée » - est pourtant symptomatique. Elle trouve ses fondements dans des relations historiquement difficiles.
Une fracture préjudiciable à gauche
Par Thomas H.
Une "séparation" qui vient de loin. « C’est le national qui descend sur le local » analyse celui-la. « La rancœur et un mépris pour l’écologie volontaire » rétorque cet autre observateur. Mises au grand jour, quand la ou le ministre s’acharnait à faire...
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