Il y avait un vieux monsieur à casquette ...
Par E. J. Folliard
En ces temps de Toussaint, certains fantômes se rappellent à nous, irrémédiablement. Qu’ils se manifestent sous les traits d’un enfant déguisé réclamant des bonbons ou qu’ils émergent au plus profond de chaque être, au souvenir d’un proche disparu, chacun croise en ces jours tristes de Novembre ses propres fantômes. Ils viennent furtivement nous rappeler les jours heureux de nos existences, mais aussi des souvenirs plus sombres. Les remords et les regrets qui se font parfois jour.
Comme le commun des mortels, le stade lavallois a lui aussi ses fantômes qui se confondent parfois avec les nôtres. Le soir venu, cachés par le brouillard qui tombe sur le Basser, cette armée des ombres peuple les travées, les vestiaires et les couloirs du vieux stade. Ils ont pour la plupart des visages d’anges, ceux des brillan...
La suite est réservée aux abonnés
Déjà abonné-e ? Se connecter
Abonnez-vous dès maintenant ⤵
- Lisez ce qu’on ne lit pas ailleurs en Mayenne
- Soutenez un journal indépendant adossé à une association reconnue d’intérêt général
- Entrez dans l’investigation, l’analyse, l’opinion et écoutez des podcasts
Paiement sécurisé par carte ou chèque bancaire
Contactez-nous : ici