C’est une photo qui ne dit rien. Ou presque. Une photo qui rappelle les rares Polaroïds que l’on a pu prendre et les formats carrés des Instamatic. Des boitiers qui permettaient aux non-connaisseurs de recharger la pellicule facilement car elle se trouvait insérée dans un compartiment inviolable. Et puis on faisait “clic-clac” simplement et c’était la grande inconnue. Il fallait attendre longtemps avant de voir le résultat final sauf pour le Polaroïd.
Du travail de pro
Là, Raymond Depardon a utilisé une de ses machines à lui qu’il maitrise parfaitement, mais le résultat est presque à l’identique de ce que chacun a pu réaliser à l'époque sur les plages ou à la campagne, avec le professionnalisme en plus du bonhomme. Il faut dire qu'il est cinéaste et reporteur-photos de la France provinci...
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