On savait que vivre en France, être Français et en même temps perçu comme un arabe, un noir ou un asiatique, c'était loin d'être facile. Le film de Laurence Petit-Jouvet, non seulement nous le montre, mais il met des mots sur le racisme ordinaire. Car être regardé comme des non-blancs, c'est avoir à penser constamment à sa couleur de peau. En fait, La ligne de couleur qui est sorti le 17 juin, pose admirablement sur la table la « blanchité » comme position dominante en France. Et le spectateur ne sort pas indemne, après la projection, de la salle de cinéma.
Par Thomas H.
« Être noir à Château-Gontier ce n'est pas la même chose que d'être noir à Montreuil » ; la réalisatrice qui a présenté son film à Laval (Mayenne) dernièrement et qui a décidé de distribuer elle-même son film évoque ai...
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