Dernièrement nous exhortions le Stade Lavallois à retrouver son âme afin de se construire un avenir radieux. Mais jamais, nous n’aurions pu imaginer que dès la deuxième journée de championnat cet espoir allait à ce point voler en éclat, au travers de la voix rugueuse de son entraîneur François Ciccolini. Nous ne reviendrons pas ici sur ses déclarations, proprement inacceptables, dans les couloirs du stade de Boulogne-sur-Mer, que nombre de médias locaux et nationaux ont relayé abondamment mais plutôt sur la gestion par le club de cette affaire. Une véritable tragi-comédie qui a transformé en moins d’une semaine, une faute personnelle, en un véritable naufrage collectif qui altérera durablement l’image du Stade Lavallois.
Par E. J. Folliard
Une gestion calamiteuse qui n’est pas sans rappeler dans sa forme l’affaire Lactalis ; affaire bien plus sérieuse qui aurait pu entraîner le décès...
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