«En validant (...) les grands principes la loi sur la transparence, le Conseil constitutionnel s'épargne un procès en ringardise et sauve la mise de l'exécutif. Mais il censure des dispositions importantes et amoindrit encore la portée de cette loi écrite après les aveux de Jérôme Cahuzac.», écrit Mediapart à l’origine de «L'affaire Cahuzac ».
Le journal en ligne poursuit en observant que «le renoncement le plus frap-
pant concerne les activités annexes des parlementaires. (...) Un député ou un sénateur pourra donc continuer à être avocat d'affaires. Les parlementaires pourront continuer à mélanger allègrement les genres et les intérêts.» Pourtant, le Premier ministre Jean-Marc Ayrault avait déclaré aux députés : « Est-il acceptable qu’un parlementaire (soit) à la fois consultant ou avocat d’affaires ? Je dis non, ça sera terminé. »
Quant aux déclarations de patrimoine, « des "barons...
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