Un mur qui tombe, c’est de la liberté en plus. Un mur qui se lève, c’est de l’incompréhension ; à tout le moins, de la distanciation. Celui qui se trouve entre vous et votre voisin, vous avez envie de le conserver intact, parce qu’il vous préserve dites-vous et vous procure une certaine intimité. En revanche, celui qui sépare deux nations, deux pays, deux peuples en deux mondes idéologiques différents, et qui écarte l’individu l’un de l’autre et qui déchire peu à peu les familles, celui-là vous n’avez qu’une seule envie bien sûr, c’est de le voir s’effondrer.
Il y aura, hélas, toujours des murs
Par Thomas H.
L’Allemagne de l’Est l'appelait « mur de la paix » et l’Allemagne de l’Ouest «mur de la honte ». Un mur-sécurité érigé pour éviter toutes tentatives d'ingérence des dogmes respectifs de chaque pays.Un ouvrage pare-idées qui finalement sous les coups de boutoir des h...
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