Par Thomas H.
Les enseignants du service public en Mayenne comme partout en France sont majoritairement face à un mur. Ils s'interrogent sur le pourquoi de ce qu'ils vivent : «la lente dégradation de l'école» en général, comme si elle était stratégiquement programmée.
Ils défendent l’avenir de l’école de vos enfants et demandent que l’on soit respectueux de ce qui les anime. La passion d'enseigner. Mais en vain. Ils ont le sentiment de ne plus être entendus.
Ils ne veulent pas d’une école rabaissée, ni même écornée au nom de l’économie. Force est de constater qu’en cette rentrée, c’est le principe du « bouts de chandelle. » qui prévaut. On est loin de l'image idyllique véhiculée officiellement.
Ici en terminale, c’est un prof’ de maths qui manque depuis la rentrée (rien de plus banal!), mais dans une classe d’examen et donc avec le bac au bout : c'est ballot et c'est plus embêtant!...
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