C’était prévisible, la délibération a été adoptée, même si l’opposition de gauche au complet a voté contre. La ville de Laval va en finir avec son emprunt toxique qui a « empoisonné deux mandats successifs ». Et c'est tant mieux.
L'ombre de François d'Aubert a plané sur le conseil municipal
Par Thomas H.
La délib’ était d’importance, il s’agissait de voter sur une histoire de gros sous ; un « swap », un produit financier à risques, de 11,5 millions d’euros contracté sur 18 ans en 2006 et qui aura coûté au final la bagatelle de 25 millions d’euros à la ville de Laval.
Dans cette opération, un homme, un fantôme. Le spectre de François d'Aubert a plané sur le conseil municipal, l'homme par qui le problème est arrivé en 2006, l'ex-ministre qui, un temps, a dénoncé les trous noirs de l’évasion fiscale et qui s'est laissé tenté, comme beaucoup de responsables de collec...
La suite est réservée aux abonnés
Déjà abonné-e ? Se connecter
Abonnez-vous dès maintenant ⤵
- Lisez ce qu’on ne lit pas ailleurs en Mayenne
- Soutenez un journal indépendant adossé à une association reconnue d’intérêt général
- Entrez dans l’investigation, l’analyse, l’opinion et écoutez des podcasts
Paiement sécurisé par carte ou chèque bancaire
Contactez-nous : ici