Dans le nouvel hôtel des ventes de la ville de Mayenne, dans la zone industrielle, les spectateurs-acheteurs potentiels s’installent un à un, ils arrivent par grappes. Logique non? Le commissaire-priseur, lui, abaisse son marteau et frappe un coup sec, des Châteaux-Pétrus viennent d’être achetés. Ça n’a pas duré longtemps.
(Cet article a été publié la première fois le 14 Janvier 2010)
Par Thomas H.
Ces Pétrus, tout le monde finalement les attendait et les lots sont passés en fin de vente, comme le dessert qu’on ne saurait servir avant les entrées. Car il s’agit de bouteilles pour spéculer, c’est-à-dire des lots achetées pour la revente.
Quand on sait qu’un millésime 2000 par exemple s’est adjugé 2 100 euros la bouteille, on imagine le bénéfice qui pourra être faite par la suite. Juteux le gain qui sera réalisé, tout comme le breuvage est mythique.
Des millésimes du tournant du siè...
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