Un peu de lumière sur la "peine ombre". Sur ce feuilleton dont les britanniques ont le secret. Le Brexit, voté un peu à la va-vite, voit, à quelques encablures de la deadline qui sonne la sortie officielle des britanniques de l'UE, son sort malmené, et par la même celui de la n°1, Theresa May qui a réussi toutefois à conserver son poste de locataire au 10 Downing Street. Là aussi, il semble que le pouvoir n'ait plus de réelle et franche légitimité naturelle. Michel Ferron qui signe cette tribune sur leglob-journal évoque les mots d'impostures, de duperies et d'instrumentalisation.
Par Michel Ferron*
Le désaveu cinglant que vient de subir Theresa May, à quelques semaines de la date officielle de sortie de l’UE, sonne la fin provisoire de l’affligeante comédie à laquelle se l...
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