L'annonce surprise, mardi 27 mars, par le Président de la République d'une «instruction obligatoire» à partir de trois ans dès la rentrée 2019 devant les Assises de l’école maternelle réunies par Boris Cyrulnik - sans que les enseignants n'aient d'ailleurs été associés à sa préparation - n'est pas forcément une bonne nouvelle. C'est ce qu'estime et développe Pascal Grandet sur leglob-journal, cet ex-responsable syndical qui a été enseignant en Mayenne.
Par Pascal Grandet
Elle relève au mieux du coup médiatique car 97,6% des enfants de 3 ans sont déjà scolarisés. Sans mépriser l’intérêt de s’occuper des 26 000 petits du même âge qui ne fréquentent pas encore l’école à cet âge, chacun pourra convenir qu’il y a quelque décalage entre la publicité faite à l’annonce présidentielle et son effet prévisible dans un an et demi.
Mais cette annonce peut aussi cacher d’autres desseins, ou tout...
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